Bien que notre esprit soit un peu perturbé par tous les travaux de réparation (et de préparation !) de Zanzibar, nous ne devons pas oublier qu’une Ste Juliette doit se fêter à grand renfort de copains et de copines. Juju se charge de nous le rappeler 50 fois par jour… On en profite donc assez lâchement pour embaucher tout ce petit monde le samedi : les Marchal, les Rohrer-Cizeron, les Marcal-Charmouan …
On dirait une fourmillière qui s’agite. Ca fait assez bazardesque, mais c’est très efficace : Cyril et Manu creusent 2 énormes trous sous les safrans pour qu’on puisse les descendre et changer les bagues, Paul ponçe inlassablement, les filles cassent leurs ongles sur les traces de colle très rebelles des autocollants, les 10 enfants papillonnent de l’un à l’autre.
Annette et Marc nous rejoignent à bord de leur annexe pour le barbecue du soir. On bricole bancs et table avec ce qu’on trouve sur le chantier, système D un peu brut de décoffrage… Mais l’important est d’être ensemble et Juliette a même son gateau au chocolat préféré (merci Jen!), et ses cadeaux. Nous finissons la soirée à la lumière des phares des voitures, c’est très chic.
Le dimanche est très studieux. Nous terminons le ponçage des coques et nous accaparons Guillaume pendant des heures pour faire le tour du bateau cm2 par cm2, poser des milliards de questions, écouter avec attention tous ses conseils avisés, … et rallonger encore et toujours cette fichue To Do List… Mais le séquencement des travaux commence à être plus clair (il serait temps !) et nous entrevoyons un peu de lumière au bout du tunnel.