Le mois de février est déjà bien avancé, et nous pas tellement plus qu’en janvier. Nous prenons une jolie leçon de patience : des jours que nous « finalisons » l’acquisition du bateau. Jo, le skipper d’Alain, est allé visiter celui de St Martin : verdict sans appel, il ne veut pas traverser une poubelle pareille. Ca, c’est fait. Il repart sur la Guadeloupe pour faire un topo des 2 autres. Le décalage horaire aidant, les infos nous semblent arriver une à une, avec un suspens éreintant. Tout prend 24 heures, et Jo ne peut pas imaginer notre stress, nous ne vivons pas dans le même espace temps…
Patience et longueur de temps valent mieux que quoi déjà ? Ah oui, que force ni que rage…